Je suis prête à essuyer les critiques car voici une lecture… que j’ai abandonnée !
Jens le Postier arrive péniblement au village. Gelé, il ne fait plus qu’un bloc avec son cheval. C’est pourtant monnaie courante dans cette région d’Islande où il neige en avril. « Le gamin » accueille Jens, être étrange et amoureux de la lecture et de l’écriture. … Et puis voilà ce que j’ai retenu !
Après avoir commencé ma lecture, j’ai découvert qu’il s’agissait du tome 2 d’une trilogie. Est-ce dû à cela ou à la confusion des patronymes islandais ? Je me suis perdue dans une tempête de neige et de mots et, au vu de l’écriture si belle et si poétique de Stefansson, je le regrette. J’y reviendrai, c’est promis !
Si j’ai arrêté ma lecture au bout de presque cent pages, j’ai tout de même relevé quelques extraits :
« Nous mourons si nous n’coutons pas ce qu’enseigne l’expérience, mais nous moisissons si nous y prêtons trop d’attention. »
« L’homme meurt si on le prive de pain, mais il dépérit et se fane en l’absence de rêves. »
« Le silence repose sur tout chose, il n’y a que la neige qui tombe et ces mots qui renfermement un mystère, un message adressé au monde. »