-Saison 5-
Je passe encore une fois la main à Danaé, 11 ans, qui vous présente un résumé de ce cinquième tome :
Sauveur va passer une année difficile, plus que les autres mêmes ! Eh oui vous ne croyez peut-être pas cela possible, mais Sauveur (& fils) va/vont rencontrer plein de nouvelles péripéties (et patients). Grâce (ou à cause ?) de Louane qui cherche un nouvel animal de soutien émotionnel, Sauveur va devenir psychologue pour animaux … pour de vrai ou non ? Mais il y a aussi Frédérique qui revient pour raconter ses séances d’hypnose chez un monsieur qui lui a fait découvrir que son père n’est autre que Donald Trump, Ella , maintenant appelée Elliot qui souhaite une complète métamorphose et aussi qui hésite de plus en plus à aller chez Sauveur. Samuel qui, lui, va découvrir que les femmes ne sont que des sales hypocrites et que les hommes ne sont dans aucun cas des machos grâce (ou plutôt à cause) d’un garçon avec qui il partage sa chambre. Mais il ne faut SURTOUT pas oublier Maelys qui vient surtout pour régler les problèmes de son papa avec sa nouvelle compagne, et bien sûr Blandine qui mange beaucoup TROP de bonbons et qui va être suivie par un docteur pour qu’elle ne fasse plus des bonbons son repas quotidien. Cependant pour la vie quotidienne de Sauveur, c’est compliqué ! Maintenant qu’il est en couple avec Louise et qu’il héberge Paul et Alice, ils veulent un bébé et c’est là que la situation va tourner au désastre ! Mais je n’en dis pas plus ! Ce sera une surprise, une très grosse même ! Mais bien sûr il héberge aussi Jovo Jovanovic, Gabin et Miaou, un chat donné par une de ses patientes !
Elle s’exclame beaucoup ma fille…
La nouveauté, c’est que Sauveur a besoin de parler à quelqu’un lui aussi. Il remet ses compétences de psychologue de plus en plus en question et il n’est pas toujours au mieux de sa forme lui-même. Le couple qu’il forme avec Louise vacille sans couler pour autant même si des moments bien tristes sont à traverser. On retrouve Sauveur & fils, rien qu’eux deux, à la fin du livre, sur la plage des Salines (à laquelle on a pu goûter il y a deux ans aussi !) à manger du matoutou et à se mêler aux Antillais avec plus ou moins de succès. On s’attache à ces personnages au fil des tomes, bouh, c’est de plus en plus difficile de les quitter. J’espère lire encore avec ma fille qui, doucement s’éloigne, c’est souvent moi qui devais rameuter les troupes pour ce joli moment de complicité. Une chose est sûre, on veut retourner au 12, rue des Murlins, on veut continuer à vivre avec cette petite tribu.